• je laisse passer l'heure, je laisse filer le temps, et j'enfile mes gants de laine. peu importe le spleurs, peu importe les cris, seul les larmes des enfants doivent nous rappeller à quel point la vie ets fragile. terrain de terre mobile, vomit d'une civilisation bien trop "évoluée", dénit de la simplicité et du bonheur, heure de gloire de la sur-consommation, et ainsi va la vie.


     petite princesse, ne pleurt plus, sèche tes larmes et suit moi au fond des bois, là où la lumière n'arrive pas à filtrer entre les feuilles.


     


    Peu m'importe ton charabia, peu m'importe les draps de soie, peu m'importe les pleurs d'une vieille à l'allure sombre, peu m'importe les présages d'une mort certaine, peu m'importe les pensées sombres, peu m'importe la solitude des autres, peu m'importe...


     


    des mélodies qui s'enchainent, un air qui poursuit sa valse, une voix qui nait et meurt au creux d'une oreille, un souffle déposé au creux d'une épaule au hasard d'une douce nuit, un chat qui ronronne de plaisir et d'angoisse, et le monde suit son cours.


     


     


    les mots suivent, s'emmelent, s'entremelent, se mélangent, et s'eventent. le sens s'envole, la farandole perds pied, et la douce lucile pleurs au hasard des paysages.


     


    Des armes. [noir desir] des armes [noir désir] des armes [noir désir] des armes [noir desir] des armes [léo ferré]. ne l'oublions pas.


     


     


    [1]


    organisation lamentable et puerile, valse ennivrante et volontaire. un coups de maitre et si peu de réussite.


     


    Rien. non rien de tout cela n'apparait dans mon quotidien. la valse de nos coeurs poursuit sa route, et nous ennivre sans cesse. le bonheur frappe à ma porte et je l'acceuil le sourire au lèvres. le moral nous joue parfois des tours mais reste dans le positif. le spleurs viennt parfois, et s'envont bien vite. petit coups de tristesse, malaise passagé,e t la vie recommence.  [trompe la mort et tais toi]


     


    [au creux d'une réalité parfois bien étrange, Suze* poursuit sa charmante vie et garde le sourire, le plaisir et l'envie de vivre plus fort que tout, le bonheur au rendez-vous, le smonstres sont bien loin]


     


    petit coeur jolie...


     


     


    il est temps der clore le débat, que chacun retourne à ses activités.


    1 commentaire
  • apres quelques jours, semaines ou mois je ne sais, je reviens traiter me spieds par ici.


     de nombreuses choses ont changé depuis mon dernier passage.


     


    quoi?


     


    certainenement moi.


     


    depuis que je viens dans cet ailleurs, la vie est bien différente. je n'ai plus d'obligation parentale (ou disons qu'elles ne sont plus les meme), j'ai appris à faire certaines choses que je n'aurais pas cru posisble auparavant, et j'ai appris a avoir plus de liberté. j'essaye de ne pas me noyer dans ce trop plein de liberté, et je pense ne pas trop mal me débrouiller. les coups de cafard sont présents, mais ne sont pas légions. j'arrive à aigaillé mon quotidien, et mon entourage m'aide. je suis plutot heureuse ici. ou non. très heureuse meme.


     


    j'ai cru que le changement serait difficile, rude, angoissant, destabilisant. et puis... pas tant que cela au fond. pas vraiment difficile, absolument pas rude, très peu angoissant, parfois destabilisant mais pas tant que cela.


     


    j'aime les journées que je vis, j'aime me lever le matin doucement en reflechissant à la journée qui m'attend. j'aime appréhender certains cours. j'aime prendre mon temps,  le fait de pouvoir tout faire à pied, le fait que l'on me fasse confiance, et que je me fasse confiance. j'aime tout simplement.


     


    [1]


    introduction longue, peut etre inutile, mais agréable à ecrire.


     


    [passons aux choses sérieuses]


     


    j'ai retrouvé ma joie de vivre, celle que j'avais perdu en cours de route.


    celui qui partage ma vie n'y est pas pour rien à vrai dire.


    8 mois de bonheur... que demande le peuple? [que cela suive son cour et que le bonheur ne s'en aille pas]


     


    [entract]


     par ici mesdames et messieurs, la chorégraphie des pingouins dévoreurs de planateur va bientot commencer. par ici la monnaie, par là la vertue. filles de mauvaises vies, et hommes de tout bords sont acceptés. les chiens sont admis. et les chats sont permis.serre vos taille et préparez vous au plus grand spectacle qu'il ne vous soit donné de voir. unique parmis les plus invisible, grandiose parmis le splus minable; la chasse à l'homme commence? les sacs à vomi sont sur votre droite, et les vetements de rechange sur votre gauche? au sol vous trouverez un bac à pied, et au dessus de vos tetes, vous découvrirez un apsiurateur intellectuel.


     


    [retour à la réalité]


    je prends la clé des champs et m'envole pour d'autres heureux évènements!


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires