• *du haut de sa petite tours, la jeune femme ose enfin reprendre du poil de la bête. elle a bien comprit qu'il ne faut pas vivre pour les autres. mais pour soi. ce n'est pas si facile, on s'engage, on s'efforce de faire de son mieux, et tout peut basculer. parfois la jeune enfant devenu femme se dit qu'elle mériterait bien un petit merci. même un tout petit. mais comme elle n'y a pas le droit, elle oublie, et change de chemin. bientot, la vie reprendra son cours, et elle attend cela avec impatience. parce qu'elle aimerait montrer aux autres qu'elle est capable de faire ce qu'il faut. capable d'étonner les autres. c'est comme ça! et elle compte bien montrer ce qu'elle vaut.*

    "patsy cline." tout simplement.

     

    lundi: Control. je le verrais enfin. depuis le temps que je l'attendais. fucking alléluia!!

     


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  • "allez ma fille, si tu ne le fais pas toi même, personne ne s'en chargera!"

    bon, alors d'accord.

     

    *Joy division, warsaw*

     

    [play]

     les notes commencent doucement à s'entrechoquer, le petit homme prend son micro et déverse son flot de paroles. fut un temps où tout cela m'aurait parrut  incompréhensible. aujourd'hui je fais un effort, et je comprends ce qu'il a voulut me (nous) dire.

    [bout de vie]

    aujourd'hui, journée banale. je me lève de bonne heure, je prends un petit déjeuner simple, et je cours prendre un bus. arrivé là bas, j'enfile mon maillot et je plonge tête baissée. dieu, que c'est bon! je ne pens eplus, j'ai la tête vide, chose plaisante à vrai dire. un type aux yeux baladeurs ne peut s'empecher de me regarder. je n'aime pas la façon dont il m'observe. ses yeux sont petits et marrons. son bonnet est tristement ridicul, et manoeuvres pire. alors je vascille, je coule et je reprends vie. pourquoi n'aurais-je pas le droit d'en faire qu'a ma tete après tout?! je sors, j'entreprends de me rincer les idées. une fois rhabiller j'entre 40 centimes dans cette foutue machine. le bus arrive, je prends mon temps et il m'attends. serait-ce un bon présage? pas tout à fait. les portes s'ouvrent, je laisse mes pensées ici, et je me colle un sourire des grands jours. raté. le bonhomme est accompagné, d'une jeune demoiselle blonde, je la connais; je dis bonjour. je n'ai pas droit à une petite marque de tendresse. on sent que le pacha qui sommeille en lui s'est déjà réveillé. trop tard. alors je prends un verre, je discute, j'allume une cigarettes, et les autres arrivent. on m'offre un repas, quel plaisir. l'autre ne dit rien, ou pas grand choses, il fait des sourires, prends sa grosse voix et se montre ferme et viril. très bien. les portes monnaie s'ouvrent, et l'heure avance. je file prendre mon bus, et je n'ai droit qu'a un banal au revoir. aurais-je perdu cette matiné? pas tout à fait, puisque j'ai pensé à moi. et que parfois, rien ne fait plus de bein que ça.

     

    [de sa voix étonnante, pas tout à fait grave et rocailleuse, il s'interroge.]

     

    *Merci à Flo, pour son message. parce qu'elle a bien raison.*


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  • merde.

    tout simplement.

     

    je sais que parfois on cherche ce qui nous arrive. alors disons le simplement: tant pis pour moi. je suis allée m'enfermer dans ce toru à rat. je ne veux plus en sortir, et alors?! qui s'en occupe?! mais personne bien sur. qui voudrait entendre les histoires maigrellettes d'une petite enfant? personne voyons, personne. l'homme chante toujours, il en veut, et souhaite se faire entendre.

    une cigarette. un verre d'eau. un ordinateur. et parfois un bout de vie.


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  • *joy vision...tout simplement*

     

    je parcours la toile à la recherche d'autres. je goute à tout, et je consume ce qui doit l'etre. cela n'a plus de sens, mais peut importe. ma vie manque terriblement de saveur, à croire que je fais tout pour que cela devienne ainsi.

    un inconnu qui sourit et vous dit bonjour. un autre qui vous regarde et qui savoure la moindre parcelle de votre corps. qui observe votre sourire et tente parfois un petit regard coquin. et il y a ces autres, tout ces autres. ceux qui esquivent les regrdas, ceux qui n'osent pas soutenir le votre. mais pourquoi pitié? peut-être pour ne pas avoir à savoir ce qui se cache derrière une mine atroce. certains osent, et vous regardent comme s'il n'avait jamais rien vu de tel. des jambes nues, et tout les regards se tournent vers vous. certains se demandent simplement pourquoi une demoiselle osent autant s'exhiber, et d'autres se disent qu'une telle coquine doit cruellement manquer de quelque chose. s'il avait tord....

    un inconnu qui vous offre son corps, et un autre qui aimerait tant gouter votre poitrine pulpeuse. non ce n'était pas un jour parfait. Reed a mentit. j'y ai cru, j'ai osé y croire. on m'avait prédit de l'éspoir, mais pourtant je n'en ai pas.

     

    *such a perfect day, i'm glad....*

    on est loin du cliché. trop près d'une vérité qui ne veut pas sortir. personne ne me lit, et pourtant cela s'adresse à tous. parfois, j'oserais meme espérer que... la chanson s'arrete. soudainement. presque trop brutalement. mais les larmes ne sortent pas. alors on reste là, sans rien dire.

    tant pis, ce sera pour une prochaine fois.

    dans une histoire future, ma vie sera si palpitante que je me prendraisà rêver à une paix morne et monotone. mensonge. tout cela n'est que mensonge.

     

    tant pis, quelques notes encore, je n'aurais plus à y croire.


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  • nouveau mois, nouvelle année... peut-être trop de nouveauté au fond, non?

    j'ai peur de perdre le contrôle des choses, et de finir dans un drôle de néant. et puis, peut-être que c'est une chose nécessaire... qui sait? surement pas moi.

    *chapitre premier*

    il était beau et jeune, doux comme un agneaux. l'emmener à l'abatoir ne fut pas chose facile, mais parfois on ne choisit pas. il était calme et heureux, heureux comme l'homme à qui l'on a fait l'amour. son sourire bienveillant cachait pourtant un terrible et lourd secret.  il savait ce qu'il l'attendait, savait parfaitement à quoi s'attendre. et n'esperait pourtant pas que les choses soient autrement. que voulez-vous? il était heureux et ne pouvait rien y faire. il s'avait ce que cela voulait dire, il avait comprit son jeu, mais n'en soufflait un mot.

    *chapitre second*

    la jeune fille qui l'accompagnait était là depuis le début. elle avait tout vu, et pouvait tout dire. mais au lieu de cela, elle restait sage et muette. elle voyait bien que cela ne menerait à rien de lui expliquait ce qui allait se produir, puisqu'elle avait vu clair dans son petit jeu. alors, elle lui prit la main, l'embrassa, et lui souffla tendrement quelques paroles. quelle fut sa réaction quand il en rigola, elle ne s'y attendait aucunement. mais tant pis s'il prennait les choses comme cela, ça pouvait bien lui être égale à elle que ce soit la fin. elle l'avait vu venir.

     *chapitre troisième*

    les mots que pronnaiçaient cette homme à la radio ne ressemblaient à rien. ils ne comprennaient pas. et ne le voulaient pas de toute façon. la fin était proche, et ça leur était plutôt égal, puisqu'ils l'avaient comprit bien avant. alors soit. c'était un adieu. Il lui prit la main à son tour, évita soigneusement son regard, et lui dit a Dieu. ils ne pouvaient rêver mieux au fond. c'était un au revoir sans pleurs ni tristesse.

    *fin*

    le cinquième jour, elle comprit. elle comprit pourquoi. il lui manquait. tout son être le réclamait, et pourtant elle devait se satisfaire du vide. la douce musique mélancolique qui innondait la pièce ne put l'empecher de faire briller ses yeux. alors elle comprit ce que c'était quêtre seule, sans quelqu'un pour vous dire ce qu'il ets bon de faire, sans quelqu'un pour vous dire que l'amour est une jolie chose. elle n'osait plus y croire auparavant, mais il avait réussit à lui faire savourer ces histoires à l'eau de rose. elle était pâle au possible. sans lui, les choses auraient un autre goût. un gout amer dont elle ne se souvenait plus. mais qu'importe, puisqu'elle l'avait bien voulait et n'avait rien fait pour que cela se passe autrement. à quoi bon?

     

     

    *j'ose espérer, encore. et encore. je perds peut-être le contrôle, mais il le fallait bien. pas besoin d'être fataliste ou négatif puisque les choses sont comme ça.

     


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