l'année est finie, oui déjà. le stress s'en est allé, et les vacances sont déjà en cours de route.

tout s'est bien passé.stop.j'ai eu mon année.stop.tout va bien.stop.ou presque.stop.

J'ai du travail, pas mal même. je devrais être en train de me retourner pour avancer et fairz aboutir mes projets. Au lieu de cela, je divague, je cherche, je prends mon temps, et je coule. tout m'est égal ou presque. je me fiche de tout, ou presque. qu'importe le stress des examens, qu'importe le mal-être qui me ronge, et qu'importe surtout la fatigue qui m'accable. Parce que finalement je n'ai de temps pour rien, et surtout pas pour moi. Et cela me dérange terriblement.

[1]

Mademoiselle C. n'a plus le choix. elle doit remonter ses manches, et y mettre toute son âme. si seulement les choses étaient autres...

[non]

Alors voilà. les comptes sont remis à zéro. et j'attends. comme toujours, j'attends. j'attends juste de savoir. parce que je veux simplement savoir si cela tiendra encore le coups. voilà.

parce que dans ces moments là, il y a juste quelques voix qui me libèrent. 

[1]

le téléphone a jsute sonné. mais s'était déjà trop. Parce qu'aujourd'hui les choses ne sont pas allées d'elles-même. Un réveil difficile, un manque de motivation flagrande, et surtout un petit quelque chose qui traine derrière. Et puis, une petite crise, la fatigue qui s'accumule, la simple envie de se libérer et au final une réflexion qui destabilise. un retour forcé, et un drôle de type dans ce parc. un homme au regard agressif et interessé. Des gens heureux parce que pour eux les choses semblent allées bien. et puis il as toi. au bord du gouffre. Alors non, les choses ne sont pas allées d'elles-même.

juste parce qu'il me manque quelque chose.

[au creux de ton bras-MANO SOLO. merci]

les mots ne viennent pas.

ils n'ont plus de sens.