• [1] 

    aujourd'hui, grande journée... non journée banale, triste et morose, à ça près.

    un brin de soleil de soleil pour illuminer nos visages assombris.

    le cerveau en éventail, je coule, et je craque.

    le son de sa voix m'ecorche les oreilles, et ravive mes envies assassines.

    elle part, elle la journée est sauve. merci.

     puis, grand trajet, à la limite du desespérant, accompgné par le son exécrable d'un téléphone qui broit et vomit sa musique. une fois arrivé là-bas, un choix s'impose. je prends la voie du faible et de la superficielle consommatrice. arrivé là-bas, je me rappelle le visage de cet homme. les yeux noirs, le visage bouffi et sclérosé,l'allure dépouillé et minable, et avec pour seul compagnon une vieille béquille et un sac poubelle. spectable affligeant, triste, desespérant. le tout sur fond de richesse et d'hypocrisies. délicieuse ambiance. en me représentant le visage et le regard de cet homme, je renonce à ouvrir mon porte monnaie. un sentiment me ronge doucement: je me sens minable et superficielle, un peu comme toute ces personnes que l'on critique, mais en pire là.

    [2]

    au fond d'un couloir, un bruit renait sans cesse. une fillette dans la fleur de son age se révèle au monde et perds son innocence. les mains esnsanglantées et le coeur broyé, la jolie demoiselle pleure sans fin. les yeux imbibés d'eau et de sel, ils coulent le long de ses joues et déversent sur sa jolie robe un flot de tristesse incontrolable. douceur amer et rencoeur sauvage, notre petite princesse goute aux joies de ce beau et grand monde. les cheveux en broussaille, elle hurle à s'en crever les tympans, mais personne ne l'entend...

     

    "promis, je ne casserais plus jamais mes jouets...."


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  • [O]

    rien, le néant, ZErO.

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  • méchante, sale petit peste!

    sourie mon enfant, montre-nous ton beau et miraculeux sourire d'enfant pourri-gaté. laisse fondre nos espoirs le long de ton corps, laisse glisser nos désirs le long de ton ventre, laisse tomber nos espérances malsaines. enfant de mes nuits, rêve de mon coeur, innocence pure et maladive, laisse couler nos ames le long de la tienne. ne sois pas attendri de tant d'occupation, et reste sobre, petit fille de mes nuits. la peau se déchira et laissa apparaitre une horrible sorcière au visage défait et moche. sous la peau se cachait un mnstre, cette douce et valeureuse enfant n'était autre qu'une immondisse de la nature, un rêve incontrolable une pulsion destabilisante, un cauchemar bien réel.

    il avait glisser sa main le long de ton corps svelte, rien, pas un son ni un geste ne pu l'en empecher. horrible personnage de cacuhemar les plus pur et malsin, il avait alors défait ta robe et englouti ton corps dans le sien. horrible et terrible action. rien, plus rien, plus rien ne pouvait être contr elui, tu étais déjà toute à lui. triste horreur de la nature, une pulsion si longtemps refoulée avait rejailli, et tu en avais été le martyr. sombre pensée, douce horreur, si jeune et déjà baffouée. lme monstre refrappera, comme toujours. laisse agir les forces qui sauront le maintenir, ou qui l'anéantiront... tout est sous leur protection.

    ça va aller, ça va aller, tout va bien, l'eoil assombrit de la lumière de l'ombre en silence. laisse faire ton imagination et tourve un abris. pars petite fille.


    [se relire, découvrir l'étrangeté et les failles du texte, exercice facile et parfois compliqué, les idées viennent, se bousculent, s'entrechoquent, et retournent au néant aussitot]

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  • je me repasses ces doux moments comme de vieux souvenirs qui datent d'un autre age.
    la bande parait usée, gresillements et points noirs tranchent le son et l'écran. une voix se fait entendre, presque froide et loitainte, comme venue des profondeurs du néant. petit à petit ton corps se dévoile, et ton regard se fait autre. l'écran s'assombrit doucement. le regard émerveillé et inquiet tu caresse doucement tes rêves. tu t'appropries calmement mon corps.les souvenirs se font troubles, comme une vieux films qui se refuse à passer. la bande se déchire dans un bruit sombre et inquiétant. le fil de ma mémoire me blesse, et se brise. je sens l'amerturme me piquer les yeux, et se jouer de moi. une parole m'obsède et me revient alors dans un tourbillon incessant. "reviens moi". je regarde la bande coupé en deux, les yeux mouillés. attitude pitoyable et malheureuse, regard de chien battu peint sur le visage, le souffle court, les mains tremblante, les oreilles bourdonnantes, j'essaye de recoudre les derniers souvenirs qui me restent de toi...

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  • suze* elle en marre des gens qui parlent à sa place ou qui s'approprient ses idées!

    suze* c'est pas l'armée du salut, et d'abord chacun sa merde! point!

    suze* c'est pas une bonne poire, alors maintenant ça suffit!

    suze* elle se rebelle parce qu'elle en marre qu'on se foute d'elle!

    suze* elle parle d'elle à la troisième personne parce que c'est comme ça!

    suze* ça l'insupporte les gens qui... MERDE!

    suze* tout l'insupporte aujourd'hui: les gens, les vieux, les jeunes, les pétasses, les gros lourds, les sales cons, les enfoirés, les boulets, les méchantes,, et les greemlins, et tout....


    suze* demande juste une chose: qu'on la laisse vivre comme elle l'entend et qu'on arrette de lui marcher dessus et de la prendre pour une gentille coconne!

    je sais ça fait deux choses.

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