• une petite boule se fonde au creux de mes entrailles. la peur me ronge et mes joies prennent tristement la fuite.

     

    je veux y croire.

    j'en ai besoin.


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  • le 4 juillet,

     Nous avons traversé la tempête, une partie de mon équipage y a laissé la vie, et les dégats sont important. Mais après tout nous allons survivre, et notre traversé est loin d'être finit alors il va falloir s'accrocher. Grace à dieu nous avions un médecin dans le lot et quelques uns de nos hommes ont pu être sauvé rapidement. Mais j'ai peur pour le suite, la tempête a emporté des vivres, et les bateau a de sacré dégats. Mon équipage se montre confiant, il pense pouvoir réparer le bateau, et le nombre de vivre perdues est proportionnel au nombre d'hommes morts ou perdues. Nous pourrons donc survivre.

    j'espère que mon équipage tiendra bon.


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  • Just a perfect day
    drink Sangria in the park
    And then later
    when it gets dark, we go home

    Just a perfect day
    feed animals in the zoo
    Then later
    a movie, too, and then home

    Oh, it's such a perfect day
    I'm glad I spend it with you
    Oh, such a perfect day
    You just keep me hanging on
    You just keep me hanging on

    Just a perfect day
    problems all left alone
    Weekenders on our own
    it's such fun

    Just a perfect day
    you made me forget myself
    I thought I was
    someone else, someone good

    Oh, it's such a perfect day
    I'm glad I spent it with you
    Oh, such a perfect day
    You just keep me hanging on
    You just keep me hanging on

    You're going to reap just what you sow
    You're going to reap just what you sow
    You're going to reap just what you sow
    You're going to reap just what you sow


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  • le 2 juillet 2008,

     

    Nous sommes en pleine révolution. l'équipage diminu de jour en jour, et j'ai peur que bientôt il n'y ait plus personne. Les mutineries se succèdent, mais je tiens bon. Ils n'auront pas ma peau. Aujourd'hui nous avions parfaitement prévu notre trajet du jour, cependant des imprévus se sont greffés au reste et le moral des troupes n'est pas au plus haut. Une tempête approche, je le sens. J'ai bien peur qu'a cause d'elle nous perdions encore un bout de notre équipage, moi qui avait pourtant choisit des gars fort et courageux.

     

    La nuit aura été très agité également j'ai été malade, à croire que ce fichu cuisinier ne sait pas conserver correctement les rations. Ou peut-être bien qu le tout est périmé. Qu'importe puisque nous n'avons plus que ça, et la peche ne se révèle pas être une bonne idée dans ces eaux incertaines. JE ne peux écrire plus longtemps puisque mes gars ont besoin de moi, nous devons nous préparer pour la tempête.


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  • l'été frappe a nos portes.

     

    L'année est finie depuis bientot deux semaines. tout cela est passé a une vitesse hallucinante, à peine de ltemps de dire "ouf" que la page est tournée. Etrangement j'ai longuement attendu ces vacances, je pensais déjà à mon retour au bercail, et aux joies des drepas en famille. Et puis finalement j'aurais voulut que tout cela dure encore et encore, jusqu'a l'épuisement. Je me suis enfin habituée à mon cocon de solitude. J'ai enfin réussit à faire la connaissance de personne merveilleuse et étonnante. Et j'ai enfin comprit qu'il n'était plus utile de fuir. Je suis heureuse puisque mon investissement a payé et que mon travail a été récompensé.

    Oui, mais tout cela est arrivé bien trop vite. je ressens maintenant un grand vide, j'ai cette drôle d'impression, oui celle-la même qui vous fait croire que vous êtes une carapace vide. J'ai travaillé comme une forcené, et j'ai vu le soleil se levé puis se coucher en à peine quelques heures. j'ai ressenti cette étrange frustration liée au temps qui manque. Et surtout la vie ne s'est pas arretée pour moi, elle a continué son lent chemin. Maintenant je me retrouve seule dans ce grand appartement. les heures passent et semblent m'oublier. les habits s'entassent doucement, et la poussière ne cesse de s'étendre. plus que quelques jours et je devrais encore dire au revoir à toutes ces jolies choses. je suis las des au revoir, je suis las de la tristesse qu'il déchaine.

    Et pourtant je sais parfaitement que dans trois mois je pleurais toutes les larmes de mon corps car ils auront de nouveau laissé leur progéniture ici.

    la vie est cruelle et étrangement abusive.

     

     

    [mélancolie des jours heureux. ils étaient là. et je les en remercie, plus que tout.]


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