• [fucking alléluia]

    nouveau mois, nouvelle année... peut-être trop de nouveauté au fond, non?

    j'ai peur de perdre le contrôle des choses, et de finir dans un drôle de néant. et puis, peut-être que c'est une chose nécessaire... qui sait? surement pas moi.

    *chapitre premier*

    il était beau et jeune, doux comme un agneaux. l'emmener à l'abatoir ne fut pas chose facile, mais parfois on ne choisit pas. il était calme et heureux, heureux comme l'homme à qui l'on a fait l'amour. son sourire bienveillant cachait pourtant un terrible et lourd secret.  il savait ce qu'il l'attendait, savait parfaitement à quoi s'attendre. et n'esperait pourtant pas que les choses soient autrement. que voulez-vous? il était heureux et ne pouvait rien y faire. il s'avait ce que cela voulait dire, il avait comprit son jeu, mais n'en soufflait un mot.

    *chapitre second*

    la jeune fille qui l'accompagnait était là depuis le début. elle avait tout vu, et pouvait tout dire. mais au lieu de cela, elle restait sage et muette. elle voyait bien que cela ne menerait à rien de lui expliquait ce qui allait se produir, puisqu'elle avait vu clair dans son petit jeu. alors, elle lui prit la main, l'embrassa, et lui souffla tendrement quelques paroles. quelle fut sa réaction quand il en rigola, elle ne s'y attendait aucunement. mais tant pis s'il prennait les choses comme cela, ça pouvait bien lui être égale à elle que ce soit la fin. elle l'avait vu venir.

     *chapitre troisième*

    les mots que pronnaiçaient cette homme à la radio ne ressemblaient à rien. ils ne comprennaient pas. et ne le voulaient pas de toute façon. la fin était proche, et ça leur était plutôt égal, puisqu'ils l'avaient comprit bien avant. alors soit. c'était un adieu. Il lui prit la main à son tour, évita soigneusement son regard, et lui dit a Dieu. ils ne pouvaient rêver mieux au fond. c'était un au revoir sans pleurs ni tristesse.

    *fin*

    le cinquième jour, elle comprit. elle comprit pourquoi. il lui manquait. tout son être le réclamait, et pourtant elle devait se satisfaire du vide. la douce musique mélancolique qui innondait la pièce ne put l'empecher de faire briller ses yeux. alors elle comprit ce que c'était quêtre seule, sans quelqu'un pour vous dire ce qu'il ets bon de faire, sans quelqu'un pour vous dire que l'amour est une jolie chose. elle n'osait plus y croire auparavant, mais il avait réussit à lui faire savourer ces histoires à l'eau de rose. elle était pâle au possible. sans lui, les choses auraient un autre goût. un gout amer dont elle ne se souvenait plus. mais qu'importe, puisqu'elle l'avait bien voulait et n'avait rien fait pour que cela se passe autrement. à quoi bon?

     

     

    *j'ose espérer, encore. et encore. je perds peut-être le contrôle, mais il le fallait bien. pas besoin d'être fataliste ou négatif puisque les choses sont comme ça.

     


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