[au pays des merveilles, la petite alice retrouve son sourire]


j'emmène ma caravane sur les terres des oubliés et des prostitués encore vierges. sur votre gauche, des paysages desastreux se livrent à vous et se laissent consummer sans risques. tandis que sur votre droite la beauté reprend vie, et les prostitués se livrent à un traffic étonnant.
j'avais juste envie de vous faire découvrir un autre monde, mais au final ailleurs l'herbe n'est pas plus verte, elle juste différente.
je ne vous invite pas dans un voyage à la découverte de terres extraordinaire, mais juste d'un ailleurs...


au pays des petites catins endormies, le soleil se lève doucement et sans craintes aujourd'hui. la nuit fut terrible et pourtant pleine d'espoir.

[jaurais voulut, j'aurais voulut]


sur fond d'ondes orgasmiques voir purement anormales, la vieille demoiselle tente d'animer sa vieille caracasse, la puanteur de ses yeux fondus tourbillonne simplement pour finir par se cracher dans nos oreilles. les regards vide et désinteressé, la vieille femme tente simplement de revivre de ses passions.


[un jour j'irais là-bas]

en attendant ce jour, je rete ici à réver d'un ailleurs mielleusement tendre et doux.

j'ai un gout particulier pour la mièvrerie et la niaiserie. qu'on aime ou pas, peu m'importe à vrai dire. recadrons les choses dans leur contexte, il est toujours agréable de parler pour ne rien dir oeu simplement pour exprimer des choses qu'une seule personne devrait entendre ou lire. parfois j'ai la réelle sensation que les mots n'ont plus de sens, que rien ne se transmet par l'intermédiaire des mots que l'on emploie, juste de smots des regroupements de lettres sans sens véritable.

[votre dossier et assez sombre]

devrait prendre sa comme une remarque constructive et interessante ou bien plutot comme une remarque désogligeante? je me le demande sincerement, et cela me pertube terriblement.


[stop, laissons un brin de repos à nos cervelles]

le football m'a toujours insuporté, aussi bien lors du peu de fois où j'en ai fait, que lorsque je l'entrevois à la télévision. spectacle plus que dégradant; des types plus que richissime qui courrent sur une pelouse pour affirmer leur capacité à battre des perfomances physique et à courir derrière une balle. Ou tout l'art d'avoir l'air abruti en courant derrière une balle. le coté marcketing et produits de consommation ont malheureusement surpassé le sport.

[vomissons-nous dessus, mais nons sans humour]

j'ai de l'humour, mais j'accepte que l'on puisse dire de cet humour qu'il est franchement nul. chacun fait ce qu'il peut, et du mieux qu'il peut. c'est ainis, mais pas toujours.


[j'arrete de parler, parce que à cette heure-ci le smots n'ont pour moi aucunes significations, juste une sonorité plaisante ou non]

voilà une hcose bien inquiétante.

et a la terrible envie de vomir ses tripes.

j'ai horreur quand on ne me répond pas.

 

[1]

les yeux rouges et gonflés, la petite princesse aux ventre gonflé tente simplement de comprendre lemonde qui l'entoure. si tout semble torp sombre ou trop incompréhensible, pourtant ce n'est pas réellement le cas. la petite salope a simplement envie de tout fermer, et se s'enfermer pour respirer des bulles de savons à longueurs de journées, le cerveau en éventail.

 

[2]

les princes charmants ne le sont pas toujours reellement. au début si beau et si doux, puis si aigre et rêche à la fin. la jolie princesse descend de son arbre en esperant cette fois que otut ira pour le mieux, sans accroches ni fin atroce. le coeur réparé et pourtant si fragile, la demoiselle fonde tant d'espoir et d'amour dans ce couple, et ce "nous" qui l'unie à son doux prince.

 

[3]

 sur fond de musique pseudo romantique et franchement mélodramatique, la douce beauté s'enfonce dans son siège, avec la simple envie de tout fermer, et de s'en aller tranquillement, juste pour faire comprendre aux autres qu'exister c'est aussi s'affirmer.

 

[4]

les doigts fanés et le coeur broyé, la demoiselle tente simplement de replanter son coeur ailleurs.

 

prière de ne pas marcher sur la pelouse. peinture encore fraiche.

[5]

 l'agacement commence tout juste à me prendre, là sur ce coin gauche ou droit j'hésite profondément. j'ecris pour avoir l'impression d'exitser ou tout simplement pour écirre, sans but réel.

 

[6]

 

vexée, la sorcière repart dans son placard à balais et commence à se morfondre.

 

[1]

étrangement, j'aurais tendance à dire que tout les gr&ands de ce monde s'en sont déjà allés...plutot étrange, mais qui seront donc les grands de demain?

[question sans interet voir meme sans fond]

[2]

j'aurais aimé connaitre autre chose, juste pour voir comment les choses étaient avant, et ailleurs... mes vies antèrieures ne m'ont malheureusement pas beaucoup marqué, dommage.


[3]

j'aurais voulut écrire de jolie choses, ou tout simplement des choses dont je pourrais etre fière, mais j'ai raté...disons, avec une certaine touche d'optimisme, que j'ai simplement changé de route pour prendre un chemin de traverse un peu moins...juste plus...et beaucoup moins....










[prendre de 'lespace, s'installer, devenir, et finir par vomir...mais juste ses tripes s'il vous plait.]