• [1]

    je craque, ma peau s'ouvre lentement, la douleur remplit mon ame, et m'arrache des hurlements abominables. tu es là, ton regard glisse sur mon corps, tes mains empoignent mes hanches. ton sourire affiche la victoire que tu m'arrache, avoues-le tu aimes ça...
    je reve simplement de me défaire de mes liens, et de t'arracher ce que tu tentes de me voler. mon corps n'est pas un terrain de jeu, change de vice et apporte la paix à ton ame. des images se bousculent dans ma tete, un bourdonnement d'horreurs résonne en moi... une violence incontrolable prends doucement possession de mon être, et je n'attends plus que de t'enf aire profiter. un sourire fou se dessine sur mes lèvres, mes yeux ne laissent plus qu'apparaitre la haine, et la rancune... pauvre mortel qu'a tu donc fais là...


    [2]

    trève d'horreur et place au bon coeur.


    [3]

    assez fou pour violer des enfants, assez fou pour les etrangler, et les laisser là sans dignité... l'homme est un loup pour l'homme.des images toujours plus horribles chaque jours déferlent sur nos postes de télévision. un haut le coeur me prend parfois, et j'en arrive à etre desespérée par tant d'horreur et d'inhumanité. à croire que certain se font plaisir à découvrir de telles choses. certes il ne s'agit là que d'une vérité, notre grand et beau monde moderne comporte son lot d'horreurs et d 'atrocités c'est ainsi diront certains, oui mais c'est inadmissible selon moi. on en laisse certain crever, et d'autres se vautrer dans leur luxe, il parait que c'est ainsi que le monde est fait: en deux parties, d'un coté le beau et grand monde des gens qui arrivent à avoir assez d'argent pour vivre nin plus ni moins, et d'un autre coté, les extrèmes: ceux qui n'ont rien et ceux qui ont tout...

    les mots les plus blessant reste "on ne peux pas aider tout le monde". la phrase connait quelques variantes certes, mais l'idée reste la meme. triste constat. je crois que je reste quelqu'un d'assez utopiste, voir meme idéaliste... pourtant l'idéal ne peut jamais etre atteint, et 'lutopie reste un leurre. mais laisser certains crever pour pouvoir continuer à vivre dans son luxe et son bonheur apparant sans s'embeter avec d'autres me reste en travers de la gorge.


    une scène me revient doucement, cette femme, le visage bouffi et rouge, une expression d'infini tristesse et de douleur sur son visage, elle hurlait et pleurait au coin d'une rue... tout le monde avait vu et entendre, mais personne n'osa ou ne voulut aller la voir. scène éprouvante...

    1 commentaire
  • [1]

    nouvel appareil en vue, bridge, numérique, bonne qualité, prix plus qu'abordable... pleins de nouveaux projets en tête, envie de tester de nouvelles textures, de nouvelle matière, travailler sur le corps, les rues, d'aborder de nouveaux thèmes, d'essayer différentes choses...

     

    [2]

     sur fond de bruit de couinement d'un siège je tente d'ordonner mes propos et de réfléchir calmement

     

    [3]

     

    les yeux à demi clos, elle pense et triture son esprit, elle le presse comme une éponge et tente d'en faire sortir un jus clair. patience et calme son les maitres mots de la demoiselle. pourtant au delà des apparence, un tourbillon sans fin agite la belle. sous ce beau sourire angélique et fin se cache de triste et sombre pensées. les masques tomberont un jour peut-être, mais il est encore trop tot. chaque chose en son temps, et chaque jour à sa peine. en attendant, la fillette explore son interieur et découvre l'horreur de l'age adulte. son monde s'effondre, et rien ni personne ne pourra l'aider, ainsi va la vie parait-il au pays des enfants pourri gaté.

     


    votre commentaire
  • [1]

    "bOnjour, alors je me suis désistée..."

    "QUOIII?!! nOn mais ça va pas t'es follle, tu es complètement folle! tu me désespères, franchement là ça va pas du tout, on s'occupe pas de moi, tout le monde s'en fout de moi...etc..."

    voilà, ça c'est fait... bon la prochaine fois je pense qu'il faudra que j'emploie un autre genre d'annonce. l'effet est raté je crois bien. dommage. mon plaisir gachée, elle complètement désespérée, et une soirée horrible en perspective...
    certes, j'aurais pu attendre, mais j'ai eu envie de m'en débarasser maintenant... et puis au pire tout ira mal et je finirais par faire une année pour rien, dans le vide...

    [psychodrame]

    voilà le mot exact.

    [2]

    stress, angoisse, envie d'en finir avec ça, ayez pitié...

    d'une part attendre le bac, d'autre part attendre les papiers officiels, et entre les deux avoir le bac... accessoirement. parait que ça aide.


    [3]

    les yeux vides, le cerveau entrouvert, la folie courrant le long du corps... joyeusetés et autres enfantillages sont interdit sur ces terres. voir vos lèvres se tendrent pour esquisser un sourire est un calvaire, vomissez donc toute joie et tout bonheur, au pays des horreurs et de la tristesse cela ne vous servira à rien.
    montrez nous donc vos beaux yeux exorbités et vos ongles sales. des visages d'enfants désillusionnés, des jouets cassés et entrouverts, une pointe d'horreur, et voici le tableau que vous devrez vous faire de ce lieu. se morfondre, et pleurer sur son sort à l'infinit est le seul et unique principe qui régisse l'endroit...


    [4]

    le sourire qui coule doucement, les yeux sec et terriblement piquant, les envie meurtrières et inhumaines, voilà ce qui caractérise notre jolie princesse du saint et précieux calvaire. les ongles arrachés, la voix cassés, les bras troués, et le regard vide, la sainte princesse du précieux calvaire ose porter son regard sur le pauvre mortel que tu es. une envie douloureuse et simple envahie son etre tout entier... te prendre doucement, et t'emmener avec elle... ses bras de charogne se tendent, son regard s'anime d'une lueur effrayante: la marche des morts a commencé, rien n'arretera cette chose folle. prie pour notre salut ô princesse du saint et précieux calvaire...

    votre commentaire
  • des corps qui glissent, des mains qui tremblent, des regards qui se croisent et se lassent...
    des mots qui blessent, des envies meurtrières et des regards désillusionnés...


    la petite princesse aux pieds écorchés se glissent entre les lignes et vacille doucement dans le vide. ces couettes flottent dans l'air aigre du matin. les joues rougies par le froid, elle entame doucement sa prière rituelle, le yeux fermés et le coeur serré. les paroles traversent avec difficultés ses machoires serrées. elle ouvre alors les yeux et regarde le vide qui s'offre à elle. bientot se corps s'accouplerait et ne ferais plus qu'un avec la terre mère. un sourire se dessine sur ses lèvres serrées, et elle attend avec bonheur la délivrance. la folie parcours son esprit et la tristesse le quitte doucement. les pensées de la jolie désespérée s'effondrent doucement, et désormais plus rien ne plus appartien. elle a tout rendu à celle qui l'a enfanté...

    triste sort pour cette princesse destinée à un avenir glorieux et sublime. les choses ne sont pas toujours comme on le voudraient.

    [2]
    je reve de sa peau et de son odeur, ton corps sur le mien et tes mains autour da ma taille... les envies envahissent mon esprit...


    [3]
    la télévision est une veritable poubelle audiovisuelle... dommage.

    votre commentaire
  • étrange épopée il faut bien l'avouer.

     

    en ce début de mois je n'aurais pas cru en arriver là; je découvre les affres du passage à tabac pour une école post-bac, puis je joue avec mes crayons pour une autre école, j'apprneds d'abord une bonne nouvelle, puis je vais ensuite au charbon pour en ressortir en me disant "tiens je me suis fait plaisir, au moins ils ne m'ont pas tout pris", et enfin seconde bonne nouvelle.

     

    à vrai dire j'aurais plus imaginer un scénario inverse à celui qui se joue devant moi... comme quoi la vie est faite de hasard (ou pas tellement, après tout, quand onv eut on peux parait-il...), de chance ou tout simplement de bonheur.

     

    bref, retour de la médaille, jeudi passage à tabac pour une toute autre chose...résultat des courses peu satisfaisant! le hasard n'est pas toujours une question de chance, et le hasard peut parfois vous en mettre plein la vue au point de vous écraser. bref, j'hésite entre trois papiers, au début je pense "celui du milieu" puis je prends un peu de temps pour réfléchir à ce choix terrible, à la limite du sadisme, qui conditionnera ma réussite ou l'inverse. bref, comme on me l'a souvent dit "parfois autant se fier à sa premiere intuition".... certes, un petit doute me turlupine (et là je me suis meme dit "tiens ça serait bien ma veine qu'il y ai marqué Beethoven sur ce foutu papier), mais tant pis j'écoute le conseil que l'on m'avais auparavant donné, et là je prends le papier du milieu. dans un premier temps je ramene le papier vers moi, et la jeune femme assise en face de moi me sourit et me dit "vous pouvez me donner le papier s'il vous plait?" là tout s'effronde, ou presque. bref je lui donne son fichu papier...pas un mot, rien, elle prends un cd tout enf aisant attention à ce que je ne vois pas de quel cd s'agit-il.... et une fois les premieres notes sortient j'esquisse uns ourire tout en me disant "hé merde, pas de chance cette fois..."


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique