• je me suis laissée avoir.

     

    quel dommage.

     


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  • je me retrouve là. encore une fois. parce que je n'ai pas d'autre solution. une issue de secour par défaut.

    la musique qui m'accompagne est loin d'etre une musique par défaut. je crois que pour ce soir, ce sera la seule et l'unique.

     

    j'ai beaucoup de choses à dire. mais je ne sais pas vraiment par ou commencer, comme souvent d'ailleurs.

    alors laissons faire, et nous verrons bien.

    [ ... ]

    la semaine s'achève bientot, et je crois que cela me fera le plus grand bien. Je suis déçue, vraiment très déçu. déçu de moi surtout, mais des autres aussi. je suis surtout déçu de ne pas être comme il le faudrait, depuis quelques temps, on pourrait croire que je suis retombé dans mes sales années. ces fameuses années que j'aurais aimé tuer et oublier à jamais. une nouvelle jeunesse? je m'en serai bien passé. Ce n'est plus le moment de revenir en arrière, ce n'est plus non plus le moment de perdre la raison. et pourtant malgrès le fait que je tente de me raisonner, tout se perd et s'écroule.

    A vrai dire, j'ai la sensation de faire partie d'une sitcom caricaturale et débilisante pour adolescentes en mal de sensations. mais role pourrais-je bien avoir alors? peut-être celui de la petite pétasse qui agace et lasse les autres. ou peut-être dans celui de la petite ado en proie à une terrible envie de retourner à l'age de tout les caprices, et surtout des plus puerils.

    au fond, je pourrais très bien survivre à mon malheur, mais je me rends trop bien compte du regard des autres, et aussi triste que cela puisse etre, je les comprends.

    triste constat. mais il faut savoir réaliste.

    étrangement, aujourd'hui je m'inquiète du regard des autres, surement parce que j'ai changé. surement parce que j'en ai plus besoin qu'il ne le faudrait.

     

    je crois, que j'ai perdu au change.

    triste constat.


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  • profitez en, ça ne durera pas.

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  • je pourrais en écrire beaucoup des chroniques de ce genre, vous savez, comme celle où on parle d'un fait de société et qu'on tente d'y trouver une solution, pour au final finir par un "mais tout cela ne changera jamais". une fin tragique, ça fonctionne bien ça.

    au fond si tout cela pouvait avoir une fin tragique, au moins on saurait à quoi s'attendre. au lieu de ça, on hésite, on se questionne, et quand arrive le moment tant attendu on se dit "pourquoi pas, mais...".

     

    oui, mais.

     

    [1]

    la petite fille s'ennuit terriblement dans sa tour d'argent. elle fond, tente de trouver un échapatoir, et comprend qu'elle n'a plus qu'a assumer. assumer, en voilà un terrible mot.

    [2]

    elle jete quelques regards inquiet au dessus de son épaule dénudé. mais tout cela n'a plus d'importance, car il ne cherche plus à la comprendre ni à communiquer avec elle. il s'est enfermé dans une petite boite bien protégée, de laquelle il sortira seulement quand il l'aura décidé. autant dire que ce n'est pas pour tout de suite!

    [3]

    une voix étrange, tout droit sorti d'un vieux film des années 50. en fond, une petite rythmique qui nous plonge dans un univers de science-fiction, attention il débarque mes amis. et puis un air de musique bien accompli. tout est presque parfait, seulement, il pleut.

    [4]

    la petite putain se demande si sa vie pourrait etre autrement. oui. bien sur que oui. mais il n'y a pas si longtemps, elle en était bien contente. alor spourquoi maintenant tout cela l'ennuit terriblement? parce que les choses perdentpetit à petit de leurs saveurs, comme des aliments qu'on aurait trop machés.

    [5]

    deux jours qu'il pleut.

     [6]

    que faire?

    [7]

    se prendre par la main, et voir de quoi il en retourne.

    [8]

    garder son sang froid, et se dire que les choses pourrait être bien plus moche.

    [9]

    arreter d'etre déçu des autres. comprendre que nos attentes ne sont pas toujours les désirs des autres. point.

    [10]

    s'arreter sur un nombre paire, et prendre l'issue de secours. hurler un coups, et prendre le chemin de travers. s'arreter au coin de l'arbre mort, et attendre un peu. une fois l'averse passée, reprendre sa course et courir pour voir ce qu'il y a ailleurs. et se rendre compte qu'on est heureux, et que c'est déjà beaucoup.


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  • à croire que je deviens maniaque. j'aimerais que ma tanière soit parfaitement ranger. parce qu'au fond quand je n'ai pas à ranger je me sens bien et en paix. mais, mes horaires, mes travaux en cours et ma fatigue font que tout ne se passe pas comme prévu. alors parfois je reste là, à ne rien faire, triste totu simplement de voir que je ne peux pas tout faire. j'aurais adoré avoir un collant et une cape fluo pour pouvoir prétendre être une héroine de bande dessiné. mais au lieu de cela je suis une jeune fille tout ce qu'il y a de plus normal, je n'ai pas de réel problème, mais je ne cherche pas à m'en inventer non plus. je fais ce qui me plait, et je vis seule. alors franchement il faudrait etre vache pour en demander plus.

    oui, mais!

    je n'ai pas de cape rouge, et je ne vole pas au secour des innocents. je ne peux pas cacher ma double vie car ma vie principale est éjà trop prennante pour que j'envisage de m'en créer une. c'est vous dire.

    j'aurais aimé pouvoir etre sexy et grandiose dans une combinaison atrocement laide et fluo, mais au lieu de ça, je suis une fille simple, et pas franchement jolie, mais pas franchement moche. même si cela reste complètement subjectif. alors peut-être la papi qui se frottait les mains en me regardant avec ses yeux de porcs me trouvait à son gout. et peut-être que ce type dans le bus qui m'a regardé puis fuit avec une intense hardeur ne me trouvait franchement pas à son gout. allez, on peut se le dire: on ne plait pas à tout le monde. preuve en est cette fameuse soirée d'hier.

    au premier abord, ça avait l'air sympathique. un peu comme une de ces soirée où même si vous ne connaissez personne tout le monde est votre ami. les gens avaient l'air assez agréable. dire qu'ils étaient souriant ne serait pas tout à fait juste, alors restons-en au terme agréable. ensuite, on note la présence d'alcool; quelques bierre, de la vodka, et des boissons bas de gamme parce que les moyens financiers ont manqué. tiens, je contaste qu'il y a quand meme de la guinness. grande erreur, il s'agit simplement d'un type qui les a ramené pour sa consommation personnelle. le sens du partage de certain m'étonnera toujours. ensuite, je vois quelques tetes connues, mais surtout une masse difformes de tetes inconnues. alors je m'approche, je discute, je bois, je mange, et tout va bien dans le meilleur des monde. tout d'un coups, on m'appelle, on veut me parler, on se demande qui je suis. je réponds, et là le mystère s'est envolé. bon tant pis, mon numéro de david copperfield est finit. alors je reviens vers ma chere amie. on discute, mais elle est déjà faite. tant pis. on s'asseoit, on discute, beaucoup, parfois on parle avec d'autres, et après je me dis surtout que cette soirée commence à me gonfler parce que je n'aime pas les gens qui me prennent de haut ou qui pensent que je ne suis pas assez comme il faut pour faire parti de leur réseau. alors je plis bagage, et je rentre chez moi.

    j'apprends que la soirée à duré jusqu'au petit matin, et que c'était franchement cool. alors bon ok, si c'était cool hein... mais de toute façon ce ne sont que les meilleurs qui sont resté. et là je me dis que franchement je n'ai rien manqué.


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