• [1]

     

    retour au bercail.  étrange sensation de solitude, bien que cela soit loin d'être déplaisant. ils ont prit la route, et mardi je reprend le chemin de l'école. enfin, oui, enfin.

     Il était là, nous avons prit le temps de sourire et de nous faire la tête. sa présence me manque, son corps tiède contre le mien me manque. ses petites attentions et ses mots doux me semblent loin. ses expressions et ses désirs, son cou tendre, et sa voix me manquent. chaque parcelle de mon corps le réclame. et pourtant j'aime cette sensation de renouveau lorsque nous sommes ensemble. j'aime sentir ce petit tiraillement qui m'empeche de l'embrasser et de le cajoler. j'aime encore plus lui prendre la main, sans dire un mot juste pour avoir le plaisir de sentir sa peau contre la mienne. j'aime encore plus cela qu'au début, puisque je sais quel gôut ça a. il est parti depuis déjà quelque temps, mais je ne cesse de le sentir auprès de moi. lui plus qu'un autre, lui.

    [2]

    je suis niaise, et j'aime ça. je suis heureuse, car tout recommence. Peu importe que tout ne soit pas comme je le voudrais, puisqu'au fond j'aime les surprises...

     

     

    [ps]

    je désteste leur dernier album. trop lourd. trop chargé. trop chiant. quel dommage.


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  • [LE grand chambardement.]

     

    je risquerais d'écrire des niaiseries.

    qui plus est, je ne trouve plus l'orthographe d'un mot. comme si tout cela sonnait creux. des mots sans sens ni valeur. des petits mots qui se baladent au creux de mes entrailles qui se balancent doucement aux bords de mes lèvres, sans jamais s'en défaire.


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  • [1]

     

    Il est parti.

     il a choisit de partir, parce que les mots ne me viennent plus.

    ou peut-être simplement parce que les choses changent. oui c'est sûrement ça.

     

    [bis]

     

    deux ans ont passé, enfin. parce que nous etions beaux et amoureux, je n'ai pas vu le temps passé et s'accumuler. et puis en quelques mots le temps s'est rappellé à ma mémoire, et j'ai comprit ce qu'il venait de se passer. ces drôles d'années ont été fabuleuses, elles ont été un tournant décisif. et heureusement qu'il était là. parce qu'autrement je n'aurai peut-être pas eu le courage d'avancer et de grandir. heureusement qu'il m'a fait rire et m'a offert son bonheur. et heureusement que la vie continue. parce qu'il sera toujours là quelque part par là, et que je me rappellerais toujours en souriant les souvenirs que nous avons partagé.

    je voudrais bien dire quelque chose de définitif, ce genre de phrase que l'on sort sur un ton pompeux parce qu'on est certain de ce que l'on avance. mais j'ai la délicieuse chance de ne pas savoir de quoi sera fait mon lendemain et les autres qui suivront. alors qu'importe si les moments a venir ont un gout amer et arrière gout de fureur, puisque j'ai enfin la chance de pouvoir le dire... oui cette phrase ridicule et sotte qui me fait toujours sourire lorsque je l'entends, mais qui s'adapte parfaitement à la situation. j'ai été aimé comme je ne l'aurais pas cru possible. tout simplement.

    [2]

    la suite reste a ecrire...


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  • Fut un temps où nous etions au bord du gouffre. aujourd'hui nous en sommes loin. trop loin.

     

    je tombe dans une chute sans fin.

     

    la fin est proche, très proche.

     

     


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  • [1]

     

    j'ai cru être en vacances aujourd'hui, alors que j'attendais dans le couloir qui menait au toilettes d'un grand magasin. Les portes au bout du couloirs étaient ouvertes, et donnaient sur le parking. rien d'extraordinaire. juste quelques voitures, un ciel plaisible, et une musique ringarde bien qu'a la mode. je me suis juste sentie ailleurs, comme en décalage avec mon entourage. aussi étrange qu'étonnant.

     

    [2]

    ça avance. pas tout à fait bien, plutôt doucement d'ailleurs. mais qu'importe. puisque je veux y arriver.

     

    [3]

    il me manque. et je l'aime.

    je suis niaise comme ces jeunes filles en fleurs qui rêvent de leur premier amour, parce qu'après tout je n'en suis pas si loin.


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